27 juillet 2009
Le cambrioleur viole le chien de la famille...
C'est l'occasion qui fait le larron, comme on dit. On ne peut pas lui jeter la pierre...
Un peu comme quand j'ai rencontré la Germaine. J'étais venu à l'épicerie en toute innocence, avec le désir bien légitime d'acheter un litre de jaja.
Et je l'ai vue... lascivement penchée devant les légumes. Ses longues jambes dodues (à l'époque elle prenait la peine de s'épiler) étaient un véritable appel à la lubricité.
Je l'ai basculée en hurlant dans les courgettes et ça été incroyable, torride, martine aubresque... en plus on avait tout ce qu'il fallait sous la main.
Ah, nostalgie...
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